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you got the right to remain violent ◊ bartolomeo

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Alekseï Mogilevich
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Alekseï Mogilevich
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MessageSujet: you got the right to remain violent ◊ bartolomeo you got the right to remain violent ◊ bartolomeo EmptyMar 2 Juin - 17:32

You got the right to remain violent
dante ∞ bartolomeo

he'll look around the room, he won't tell you his plan. he's got a rolled cigarette hanging out his mouth, he's a cowboy kid ✻✻✻ Dante se masse les les tempes, suivies des joues puis du cou. Il cligne plusieurs fois des yeux avant de s'avancer vers le lavabo. Faisant immédiatement couler l'eau qu'il projette sur son faciès, se stimulant. Les réveils sont toujours une vraie plaie pour lui, plus habitué à vivre la nuit. Les tortures se font rarement en pleine journée, tout du moins en pleine matinée. Plutôt en soirée. Et la nuit c'est autre chose. Il n'est plus Dante mais seulement une ombre au sein des ruelles, revêtant son costume de super-vilain. De quoi lui offrir un rythme de vie peu recommandé mais au final très courant lorsqu'on touche dans des affaires aussi malsaines que lui. Ce n'est pas comme si au fond, cela l’inquiète. Il n'a pas tant que ça de responsabilités sur ses épaules à part ne pas ternir plus le nom des Capone et ne se sent pas redevable. Mis à l'écart, ce serait plutôt aux autres d'arrêter de le reléguer au second plan – c'est beau de rêver. Notamment Bartolomeo, son frangin parrain de la Mafia depuis la mort de leur paternel.

Il devrait aller lui rendre visite. Non pas une simple visite de courtoisie entre même membre de la famille mais plus dans le but de... de quoi, en vérité ? Cela fait plusieurs jours qu'il ne l'a pas vu. Et à chaque fois qu'il va le voir, tout du moins très souvent, il récolte les coups. Ce n'est pas un hasard. Il cherche aussi. Puis Dante repense aux multiples objets séjournant au sein de son bureau bien gardé, des objets qu'il a envie de lui dérober. Ce qu'il a déjà fait. Chose qu'il est difficilement en mesure de recommencer – pour l'instant : Barto lui a interdit l'accès. C'est ce qui devait arriver à force mais le bourreau est frustré. Au pire, il tentera le coup juste sous ses yeux. Un réflexe.

Lorsque plus tard, il arrive enfin chez son aîné, il remarque toute suite le nombre de gardes. L'effectif est réduit, prouvant que ce dernier est absent pour le moment et qu'il risque d'attendre comme un con devant la porte de son bureau le temps qu'il revienne. Tout dépend du garde placé devant la porte. Dante reste le frangin du leader des Capone, quand même. Bâtard ou non. Il s'avance et contre toute attente, il n'a même pas besoin de demander l'accès à multiples reprises – même de force à celui-ci qui le reconnaît sans peine. Qui le laisse entrer. Un faible sourire sur les lèvres, Dan ne se fait pas prier. Il pénètre au sein du bureau en refermant derrière lui, se retrouvant dans la caverne des merveilles. Immédiatement, ses pupilles se mettent à dévisager la boîte de cigares cubain placés en évidence sur le mobilier. Celles-ci s'illuminent. Il s'avance et bien entendu, sa main glisse sur l'objet qu'il choppe sans attendre plus longtemps. Ouvrant sa veste afin de le glisser à l'intérieur pour repartir avec. Instinctivement, il pique également autre chose de présent sur le bureau sans chercher à savoir ce quoi il s'agit. Le foutant simplement dans sa poche avant de tourner les talons, déjà prêt à repartir sans même attendre Bartolomeo. Sauf que voilà. Ce dernier lui, est déjà rentré, et Dante s'en rend compte lorsque la porte s'ouvre soudainement à quelques mètres de lui qui allait la franchir. Et rapidement, la mine plutôt satisfaite du jeune homme se mue en une mine beaucoup plus contrariée – n'omettant pas le regard noir. « Cazzo. » Marmonne-il dans sa barbe. « Pas la peine de me faire la morale, j'sais que j'ai pas le droit d'être ici. Mais si tu veux te plaindre, va voir ton garde. » Enchaîne-il avant même que son aîné n'ouvre la bouche. Agressif, aboyant à l'instar d'un chien quitte à être celui en tord. C'est tout Dante.

✻✻✻
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Afanasiy Mogilevich
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Afanasiy Mogilevich


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MessageSujet: Re: you got the right to remain violent ◊ bartolomeo you got the right to remain violent ◊ bartolomeo EmptyJeu 18 Juin - 3:36


Hématomes crochus
Elle lève les yeux au ciel en le voyant arriver. Toujours flanqué de ses deux grands tas de muscles. Elle lui avait beau lui répéter que personne n’allait l’assassiner au beau milieu de la journée dans un restaurant chic, rien n’y faisait. Mais Bartolomeo ignore ses commentaires, laisse son sarcasme glisser sur son costume impeccable sans l’atteindre. Un léger baiser sur les lèvres avant de s’installer. Les menus qu’ils déploient, tandis que Pietra commence déjà ses commentaires désobligeants. Il n’a jamais compris pourquoi elle tenait tant à sortir manger dans ce genre de restaurant pour passer son temps critiquer la moindre petite chose qui ne lui plaisait pas, des jurons italiens pleins la bouche. Quelques moqueries amusées qui s’échangent d’un bout de table à un autre, entrecoupés de banalités sans fin, l’ennui qui se glisse, poison vicieux au possible. Ils n’ont plus grand chose à se dire à part affaires ou enfants. Son regard s’égare vers une table non loin, où deux personnes âgées entretienne une conversation animé, tout sourires sur les lèvres ridées. Quelque part, au fond du cœur, un petit monstre vert aux yeux rouge, une certaine admiration de leur résistance au temps, leur capacité à encore se supporter. Il y a les regrets qui s’entassent lentement dans l’esprit, de ne pas avoir réussi à raviver la flamme, redonner le souffle à une passion ancienne. Léger soupir entre les lèvres, tandis qu’il dépose la carte couleur platine par-dessus de la note. Les chemins qui se séparent de nouveau, le baiser habituel sur le pas de la porte. Derrière les vitres teintées de sa voiture trop luxueuse, il se demande parfois, s’il n’est pas trop flagrant dans tout son luxe apparent. Par bonheur pour lui, les autorités de nos jours étaient sensiblement plus intéressées par traquer les activités hors-normes de leurs compatriotes pour avoir assez de temps et de ressources afin de démanteler la pègre rampante dans la ville. De retour chez lui, la mine pensive s’efface bien vite à l’annonce d’un de ses gardes qui lui fait savoir que Dante l’attend dans son bureau. Il y a le tonnerre dans son regard, la noirceur de ses pupilles. La colère qui gronde dans sa voix, le petit frère était désormais interdit à la demeure, après toutes ses récidives à voler tout ce qui pouvait bien se trouver sous son nez. À croire qu’il aimait ça de se faire punir. Y’a ses pas qui se précipitent dans le couleur, la rage qui noue les entrailles, les insultes grommelées. La porte qui s’ouvre à la volée sur le petit merdeux visiblement sur le point de s’en aller. Déjà l’insulte qui fuse, du voleur pris la main dans le sac. À croire qu’ils ne savent faire que ça, dans la famille, toujours à se traiter de tous les noms de la créations, à se gueuler dessus sans trop de raison. Bartolomeo tente de calmer sa fureur, déjà il sent son pouvoir qui tente de s’échapper, la fourbe petite chose. « Figlio di puttana. » Fils de pute, littéralement son bâtard de frère. La mâchoire serrée par son courroux, ses mains s’emparent du col de Dante tandis qu’il le pousse contre le mur. « Qu’est ce que t’as encore piqué cette fois ci, pezzo di merda ? » Sans attendre la réponse, l’homme le lâche pour palper lui-même le corps du voleur, fouillant ses poches pour retrouver son zippo argenté qu’il utilise pour fumer ses fameux cigares importés illégalement de Cuba. « T’es vraiment irrécupérable, Dante. Qu’est ce que tu veux à la fin ? J’en ai marre, merde. Tu veux que je te laisse à la rue c’est ça ? Tu veux faire les trottoirs comme ta putain de mère ? » Note de désespoir dans l’océan de mépris. Si seulement, c’était la première fois que ça arrivait. Les poings qui s’écrasent sur son frère, presque par habitude, il a toujours été doué pour ça, pour frapper. Comme quoi, Papa a fini par lui apprendre certaines choses au moins. « Tu fais exprès ou quoi ? T’aimes ça, te faire frapper, c’est ça ? T’es comme ces tordus qui bandent en se faisant fouetter, hein ? » Le flammes de la colère dans ses yeux, le brasier qui emporte l’esprit, les mots crachés, sans réflexion derrière eux.
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Alekseï Mogilevich
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MessageSujet: Re: you got the right to remain violent ◊ bartolomeo you got the right to remain violent ◊ bartolomeo EmptyMar 30 Juin - 19:45

You got the right to remain violent
dante ∞ bartolomeo

he'll look around the room, he won't tell you his plan. he's got a rolled cigarette hanging out his mouth, he's a cowboy kid ✻✻✻ Il est impossible de gagner à tous les coups. Mauvais timing, sûrement mauvais jour, mais intérieurement Dante ne semble pas si déçu que cela. Ce genre de confrontation qui commencent à devenir habituelles entre eux prend la forme d'une drogue naturelle. Ou presque. De la violence conjuguée à des orgasmes, quoi de mieux pour un masochiste en plein développement ? Car à tous les coups, à force, ce côté masochiste s'accentue. Laissant un avenir encore plus malsain s'ouvrir au bâtard. Et lui, s'y engouffre sans demander son reste. Enfin si, il en demande toujours. Il cherche. Il joue avec les nerfs. Il ne s'impose aucune limite comme là, où malgré l'interdiction, il est entré. Mais tandis qu'un premier juron en italien s'évapore de ses lèvres, qu'il se montre agressif malgré son tord, il devine d'ores et déjà de quelle manière tout va s'enchaîner. Figlio di puttana. L'habitude. Cette insulte, si elle le faisait au départ grincer des dents n'arrive plus à lui arracher rien d'autre qu'un air de lassitude. Ou au mieux, un rictus identique à celui qu'il affiche. Poussé contre le mur, agrippé, en proie à son aîné. D'ailleurs, il ne rêve pas. Son corps ne le trompe pas. Il ressent cette sensation étrange émanant de Barto, son pouvoir qui se manifeste rapidement sous l'effet de la colère. Qu'est-ce que t'as encore piqué cette fois-ci, pezzo di merda ? Qu'est-ce qu'il a encore piqué ? Au parrain de le découvrir, comme d'habitude. Dan reste la bouche close en se faisant palper et ne l'imaginant pas tomber du premier coup sur les deux objets qu'il lui a dérobé. Alors, qu'est-ce que ce sera cette fois ? La boîte de cigares ou le zippo en premier ? Visiblement, il s'agit bien de ce dernier glissé au fond de l'une de ses poches. Même si c'était purement instinctif, une fois son zippo volé de retour dans les mains de son propriétaire, il ne peut s'empêcher un soupire. Ses pupilles glissent sur les formes de l'objet, sa main tente même de le récupérer.

T'es vraiment irrécupérable, Dante. Qu'est-ce que tu veux à la fin ? J'en ai marre, merde. Tu veux que je te laisse à la rue c'est ça ? Tu veux faire les trottoirs comme ta putain de mère ? Menaces, pics lancés vis-à-vis de son statut de bâtard. Toujours en rapport avec sa mère la putain. Dan fronce les sourcils, resserre son poing. Sans tenter quoi que ce soit. Pour être honnête, il n'a encore jamais frappé son aîné. Répliqué physiquement. Même s'il y a déjà songé à de multiples reprises, même s'il aimerait rien que pour voir ce qu'il advient de lui par la suite, non. Peut-être un jour qui sait, lorsqu'il sera en si piteux état mentalement qu'il cherchera sa dose de drogue masochiste plus violente que d'habitude. Et en parlant de violence, la voilà qui arrive. Présente au rendez-vous. Comme à chaque fois. Il encaisse, n'arrive pas à détacher son rictus en coin, n'arrive pas à cacher son début de satisfaction. Seulement coupé par une réplique concernant les derniers dires du parrain. « Stronzo. Tu m'as déjà refilé un poste de merde et maintenant tu veux encore descendre la barre plus bas. » Aucune réponse concernant ce que lui, il veut. Aucune importance. Il est le premier à en douter. Plus d'estime, plus d'importance au sein de la famille ? Ce serait déjà pas mal. Mais il est certain que Barto ne lui accorderait jamais aucun de ses souhaits de ce type. Alors à la place, il s'amuse à jouer avec le feu. N'ayant rien à perdre. N'ayant juste à gagner, que de vulgaires coups. Après sa propre rancune crachée, son rictus paraît de nouveau plus important. Chose que l'autre doit remarquer. Tu fais exprès ou quoi ? T'aimes ça, te faire frapper, c'est ça ? T'es comme ces tordus qui bandent en se faisant fouetter, hein ? C'est peut-être con, très con de sa part mais il a envie d'en rire. Alors qu'il devrait en être vexé ou se sentir insulté. Enfin. Cela ne l'empêche pas de ne pas être rassasié. A force de parler, de l'insulter, Dan est persuadé que Barto n'y va pas à fond. « J'apprécierais déjà plus si tu savais frapper. On dirait une fillette comparé aux autres fois. » Et c'est lui qui dit ça, avec la gueule déjà amochée. Avec le filet de sang qui glisse. Provoquant. Quémandant plus que ce qu'il a déjà. Au moins avoue-il ne pas détester les coups qui lui sont portés. « Tu fais chier à m'dire tout ça. » Maintenant, il le fixe clairement. Les pupilles rancunières et envieuses plongées dans les siennes, les deux mains qui viennent se glisser sur les poignets de son bourreau actuel. Mais qui s'égarent de nouveau bien vite sur un autre centre d'intérêt. D'abord ses yeux, attirés par le zippo qu'il convoite toujours. L'une de ses mains qui redescend et tente de chopper, sans être coupé, l'objet. Il parvient à le frôler de ses doigts puis enfin l'agripper. Le problème c'est qu'au même moment, par la faute de sa position, la boîte de cigares cubain dérobée au parrain s'échappe de sous sa veste. Tombe à même le sol sans laisser une chance à Dante de la rattraper à temps. C'est trop tard. Adieu jolie boîte.

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