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let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside)

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Jon Dmitriev
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Jon Dmitriev
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MessageSujet: let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) EmptyLun 18 Mai - 17:00

Let me stand, let me walk
jon ∞ jameth

get these bandages off, you cant stand, you can walk. leave these towels apart you get up, you get out into the sun ✻✻✻ Deux semaines. Deux foutues semaines qui n'ont été qu'un ramassis de crises, d'immobilité, de laisser-aller. Une phase nécessaire. Heureusement qu'au moins, Jon a pu les passer chez lui avec Jameth comme infirmière personnelle. Loin de l'ambiance néfaste de l’hôpital, loin de ce lit de mort, mais toujours aussi cloîtré. Obligation de rester sans bouger et de récupérer. Deux jours à l’hôpital, le reste dans son propre appartement. C'était le deal. De toute manière, s'il n'avait pas eu son amante sur le dos, il se serait coltiné d'autres infirmiers sûrement moins agréables – combiné à la solitude. Lui a de loin préféré le confort de son propre foyer avec ses deux chats, avec ses habitudes ancrées à travers les murs. Avec non pas de la nourriture qui donne envie de vomir ni des têtes d'enterrement à croiser toute la journée. Il ne regrette pas. Malgré ses fameuses crises de manque, par exemple, il était dans son environnement à lui. Et c'est désormais le moment de se reprendre. Un faible soupire s'échappe de ses lippes tandis qu'il bascule doucement ses jambes vers le bord de son lit, se glissant en position assise dessus. Remontant ses deux paumes afin d'agripper ses joues, comme s'il émergeait toujours. Mais il se remémore encore. A l'instar d'une bête marquée au fer rouge, il en porte encore les marques. Les cicatrices, le fameux résultat qu'il n'a pas eu l'occasion de voir. S'attendant au pire. S'étant imaginé le pire – surtout dans le dos. En soit, Jonathan n'a rien contre les cicatrices qui témoignent souvent de belles expériences surmontées, d'une fierté qu'on peut révéler. Ce qui n'est actuellement pas son cas. De quoi devrait-il se sentir fier, lui ? De s'être retrouvé sans défense face à deux mutants dont un qui était son fournisseur de l'autre et le deuxième un ancien plan cul ? Il n'y a aucune fierté dedans. Juste de l'amertume.

D'un autre côté, l'une des principales raisons – voir la principale tout court qui le fait tant grimacer quant à garder de telles cicatrices aussi visibles est son corps. Son corps qu'il aime préserver. Maintenant amoché. Il y tient et savoir qu'il ne pourra peut-être plus se pavaner aussi aisément qu'avant sans qu'on vienne l'emmerder à ce sujet, même lors d'une simple partie de jambes en l'air, l'agace déjà. Enfin. Pourquoi faire autant durer le suspens ? C'est bel et bien aujourd'hui qu'il ôte ses bandages. Ou plutôt qu'il doit attendre Jameth afin qu'elle s'en occupe. Son attention se tourne sur l'heure affichée sur son réveil, sentant l'impatience grandir en lui. Elle monte, elle monte, et quelques minutes paraissent vraiment trop pour le milicien. Notamment lorsqu'il pose ses pupilles sur les tissus entourant ses poignets respectif, se mordillant la lèvre inférieure. Il craque. Il veut voir.

Sans plus attendre, comme un gosse impatient, il se redresse entièrement. C'est une fois debout que son regard vacille sur les bandages présents autour de sa taille, son torse, protégeant sa colonne vertébrale. Il songe à commencer par là. C'est le plus gros et probablement le plus délicat. Le plus chiant. Ses doigts glissent doucement vers l’extrémité d'une des bandes, laissant ensuite le relais à ceux de son autre main – ce qui lui vaut de grimacer un peu. Mais peu importe, il continue à les dérouler autour de lui. Se sentant déjà moins comprimé, plus libre dans ses mouvements qu'auparavant. En revanche, il n'est pas sorti de l'auberge en ce qui concerne certains endroits. Une bonne partie du haut est déjà dégagé, c'est ça de fait. Soupirant doucement, il ne réalise pas toute suite que Lucky est arrivé derrière lui. Et que sans faillir à sa nature de chat, il s'amuse à jouer avec les bandes qui ont déjà glissées sur le sol. Un vrai petit jeu pour ce dernier. Laissant ses griffes se planter dedans, l'animal tire soudain. Pas trop fort mais juste assez pour que Jon le remarque et n'en soit que plus embêté pour continuer à ôter ses bandages. « Lucky, enlève tes pattes de là. » Lâche-il en soupirant à peine, au fond amusé de le voir s'amuser ainsi mais malgré tout bien pressé d'en avoir fini avec cette corvée. Et quand quelques secondes après, Fuzz se pointe à son tour avec probablement pour but de faire de même, il sent qu'il va en avoir pour plus longtemps que prévu. Encore.

Heureusement que la chance se pointe. Bien qu'il soit dans sa chambre – seulement vêtu d'un pantalon et torse nu sans compter les bandages encore présents, dos à la porte de la pièce ainsi que bien embêté avec ses chats qui s'amusent, il ne manque pas le bruit de la porte d'entrée qui s'ouvre. C'est sûrement Jameth qui est enfin là et qui va pouvoir l'aider à finir le travail. Bon certes, il était à la base censé l'attendre. Elle ne va pas lui en vouloir pour si peu, non ?

✻✻✻
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Jameth Svensson
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MessageSujet: Re: let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) EmptyMar 19 Mai - 20:48

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These bandages cover more than scrapes, cuts and bruises from regrets and mistakes, I've been hoping your moping around the street again, I've been tripping from sipping the dripping dirty water tap, I've been poking a voodoo doll that you do not know I made, These bandages are anonymity.

Jameth attendait le bout de ces deux semaines qui marquaient la fin de la convalescence de Jonathan avec une impatience certaine ; non pas qu'elle ne s'en fasse encore pour lui, il n'avait plus aucun danger qui lui rongeait le corps pour le moment, mais à force d'être enfermé chez lui il était devenu exécrable. Elle avait réussi à supporter ses exigences et ses angoisses presque stoïquement, mais plus la convalescence filait, plus elle sentait ses nerfs céder sous l'acidité et l'amertume qui suintaient à épisode régulier de l'attitude et de la bouche de Jonathan. Et à naviguer entre l'appartement du milicien et l'hôpital, elle rognait un peu trop sur ses heures de sommeil et devenait bouffie de sarcasme et d'excès à son tour. Mais c'était étrangement agréable qu'ils finissent par se hurler dessus à cause de choses aussi futiles, plutôt qu'ils ne se sautent à la gorge comme ils l'avaient fait lors de la nuit de cauchemar à l'hôpital.
Et avec un peu de chance, ce soir il n'y aurait aucune friction pour venir ébranler ce qui s'annonçait comme une bonne soirée. Jonathan allait enfin se débarrasser des bandages qui le momifiaient, d'une bonne moitié de la chimie dont il devait se gaver ; ne lui resterait plus que des contrôles de routine à l'hôpital, des examens pour le cœur abîmé qui tambourinait dans sa poitrine, et la vie pourrait reprendre son long fleuve tranquille. Du moins, tant que Jameth comme le milicien s'acharnait à se boucher les oreilles et à fermer les yeux sur une damnation qui continuerait de gangrener l'homme en une ronde de pilules colorées, de tremblements musculaires et de seringues transparentes. Mais ça, Jameth ne voulait pas l'évoquer, ni même y penser ; les crises de manque s'étaient réduites et elle préférait se raccrocher au mince espoir que Jon ne viendrait plus s'engorger des paradis artificiels.

En grimpant les escaliers vers l'appartement de Jon, elle avait une ébauche de sourire sur les lèvres et une bouteille de champagne dans les mains ; assez léger pour elle, assez raisonnable pour qu'elle puisse se le permettre avec son estomac vierge d'éthanol depuis toute la liqueur qu'elle avait ingurgité. Ses talons claquaient sur les marches, sa robe froufroutaient avec ses mouvements et elle ne mit pas longtemps à pousser la porte de Jonathan sans se soucier de toquer.  « Jon ? » Pas de milicien dans son champ de vision, et elle déposa sa bouteille avant d'entrer dans sa chambre. Évidemment. Il n'avait pas pu attendre dix minutes qu'elle arrive, il fallait qu'il se démaillote lui-même de tous les bandages sur sa peau.  « Qu'est-ce que tu comprends pas dans le fais pas tout seul ? » Lui lança-t-elle en essayant de se composer un air sérieux ; rien à y faire, surtout avec les chats qui s'empêtraient dans les bandelettes de tissus au sol. Même Lucky avait moins l'air satanique que d'habitude, occupé à en mâchouiller une avec concentration.  « Si t'en as retiré un que t'aurais encore du garder, ne viens pas ensuite me pleurer dans les bras parce que t'as mal. » Ajouta-t-elle en se rapprochant de lui pour lui retirer la bandelette des mains. Sale gosse, toujours trop impatient.   « Lève les bras. » Et en silence, elle continua la besogne qu'il avait déjà commencé, déroulant avec prudence le tissu momifiant son torse. Plus de peau lisse, en dessous. Une peau boursouflée, aux variations de couleur, encore un peu rougie par endroit ; mais la plupart des marbrures finiraient par s'atténuer avec le temps jusqu'à se faire engloutir par le reste de la peau. Avec prudence, Jameth fit courir deux doigts sur une brûlure, asséchée, plus aussi laide que ce qu'elle aurait dû être. Elle se doutait bien des personnes à l'origine de cette laideur. Des choses, aurait sûrement dit Jonathan. Sur ce sujet-là non plus, elle n'irait pas s'aventurer. Si son avis n'était pas tranché, elle avait un malaise dans les tripes à ne voir que les mutants que comme des dangers latent, des futures gangrènes qui n'attendaient que de ronger le monde qui les entourait.  « Voilà ! » Finit-elle par déclarer en le dépouillant du dernier pansement, ne laissant plus qu'un tas de tissu au sol, dans lequel les chats étaient occupés à se rouler avec, semblait-il, tout le bonheur du monde.  « Ca va s'atténuer. » Lança-t-elle en plus, en répondant peut-être à une question muette que Jonathan lui posait ; elles, toutes ses cicatrices, ça ne la dérangeait pas mais elle n'était pas la seule à traverser la vie du milicien. Et loin d'être la seule qui l'enfouissait entre ses reins ; seulement la plus régulière. Et elle pouvait parfaitement vivre avec ça. Levant le nez, elle approcha son visage du sien jusqu'à ce que leur souffle se heurtent, puis jusqu'à ce que leurs lèvres s'effleurent sans qu'elle n'aggrave la caresse.  « J'ai ramené du champagne. On fête ta fin de convalescence ? »


Dernière édition par Jameth Svensson le Mer 20 Mai - 15:51, édité 1 fois
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Jon Dmitriev
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MessageSujet: Re: let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) EmptyMer 20 Mai - 0:29

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get these bandages off, you cant stand, you can walk. leave these towels apart you get up, you get out into the sun ✻✻✻ A peine a-t-il entendu la porte d'entrée s'ouvrir qu'il sait qu'elle est là. Qu'elle pénètre à travers son appartement sans frapper, comme d'habitude. Cela ne dérange même pas le milicien qui commence à s'y faire depuis le temps. Et pour être honnête, bien occupé, cela ne le perturberait pas plus que cela. La jeune femme l'a déjà surpris dans maintes activités, maintes positions, et évidemment en activité avec une autre personne au lit. Elle aussi doit avoir l'habitude. Quoi qu'il en soit, Jonathan n'est actuellement pas en train de faire l'amour ni en train de se doucher, ni même aux wc. Seulement bien embêté avec les bandages qu'il a décidé de commencer à ôter tout seul. Sans son aide. Chose qu'elle ne semble pas apprécier rien qu'à la première phrase qu'elle lui sort une fois à l'intérieur de la pièce où il se trouve. Qu'est-ce que tu comprends pas dans le fais pas tout seul ? Tournant machinalement et légèrement la tête vers elle, sa première réaction est un faible soupire. Vraiment très léger. Suivi d'une réplique certes moins sympathique qu'un bonjour ou qu'un salut. « Viens plutôt m'aider, maintenant que t'es là. » Depuis trois ans hein, ils se connaissent... C'est bien pour cela que Jon se rend droit au but, grimaçant encore à cause de ses chats qui tirent sur les bandages comme s'il s'agissait d'une pelote de laine. Pressé, il se pince une fois de plus la lèvre inférieure en attendant qu'elle arrive à sa hauteur. Ne se sentant aucunement coupable ou fautif de ne pas l'avoir attendue. Si t'en as retiré un que t'aurais encore du garder, ne viens pas ensuite me pleurer dans les bras parce que t'as mal. Il soupire un peu, ne répliquant rien. Inutile car ce qui est fait est fait. Alors il la laisse prendre le relais en ce qui concerne les bouts de tissu parcourant pratiquement la totalité de son torse. Lève les bras lorsqu'elle le lui demande. Suit toutes ses autres indications voire même mouvement parfois avant qu'elle ne demande. Bizarrement silencieux, tout porte à croire que Jon est de mauvais poil. Inapte à peser ses mots, à dévoiler du respect, de la gratitude. Détrompez-vous. C'est uniquement son impatience qui joue pour le moment. Qui peu à peu, s'envole. Au fur et à mesure que les bandages s'étalent au sol.

Sentant les doigts de l'infirmière se balader sur sa peau, notamment sur l'une de ses brûlures asséchée, un frisson lui parcours l'échine. Lui octroie une grimace qui ne dure pas mais qui prouve que la douleur ne s'est pas totalement envolée. Évidemment que non. Même si au bout d'un moment, la souffrance physique s'étiole puis disparaît, celle mentale est bien plus coriace à faire disparaître. Parfois, elle résiste toute une vie. Pour finalement mourir en même temps que l'individu qu'elle a accablé pendant tant d'années.

Ce n'est que quelques minutes plus tard que Jameth termine sa besogne. Jon reste toujours muet. Il se remémore les doigts glissant sur sa cicatrice et en frissonne encore, se questionnant également quant au résultat final. La jeune femme est la première à pouvoir le voir. La première à pouvoir faire une remarque à ce propos. Celle qui arrive enfin. Ça va s'atténuer. Alors c'est si horrible que cela ? Pourtant, il lui fait au moins confiance quant à ce qu'elle vient de lui clamer. Il y a intérêt que ça s'atténue. « J'espère. » Rétorque-il en conséquences, se retournant vers elle pour ne plus qu'elle ait le loisir de dévisager son dos amoché. Mieux vaut qu'elle profite de ses devants. Et étrangement, cela le détend beaucoup plus. Il sent comme une tension – crée de son propre chef s'apaiser, sa bonne humeur reprendre le dessus. Il se sent mieux. Libéré. Penchant doucement sa tête vers son visage afin que leurs lèvres se frôlent, désireuses. De quoi rebooster Jon. J'ai ramené du champagne. On fête ta fin de convalescence ? Son sourire s’agrandit.  Elle sait quoi dire afin de lui redonner la pêche. La plupart du temps. Après tout, si elle n'en était pas capable, pourquoi l'aurait-il gardé aussi longtemps en tant qu'amante à ses côtés ? Des aventures, des plaisirs ainsi que des fêtes, ils en  ont vu passer. « Avec plaisir. Mais avant ça... » Son esprit joueur refait surface – accompagné d'une lueur coquine au sein de ses pupilles. Cela fait bien trop longtemps à son goût qu'il n'a pas eu l'occasion de profiter de l'infirmière comme il faut. La convalescence oblige. Maintenant, au diable celle-ci, il compte reprendre du poil de la bête. Ce sur de nombreux domaines.

C'est pour cette raison que, lui lançant un regard complice, il fait descende celui-ci vers son pantalon. « Tu as oublié des bandages... Plus bas. » La bonne excuse. Un soupçon de malice résonne au sein de sa voix. Sans se presser, il amène doucement la jeune femme contre lui – juste assez pour qu'elle soit plus proche de lui mais pas trop pour qu'elle ait l'espace suffisant. Pour qu'elle s'occupe de son bas. Jon ne doute pas un instant : elle a deviné où il veut en venir. Néanmoins, bien que lui laissant faire, le milicien sait pertinemment qu'il n'arrivera pas à se concentrer entièrement. Pas avant d'avoir constaté les cicatrices reposant désormais sur son corps grâce à un miroir. Celui de sa salle de bain, par exemple. Il colle doucement son front contre celui de sa vis-à-vis. « Et j'ai juste besoin de savoir. De voir par moi-même. » L'espace d'un instant, partagé entre ce besoin ainsi que l'envie de s'offrir de nombreux plaisir en compagnie de Jameth, il en oublie ses chats. Lucky et Fuzz, bien emmêlés dans les bandages au sol, commencent à s'engueuler. Ou plutôt l'adulte chasse volontairement le plus jeune, le plus chétif. Un grognement de mécontentement résonne aux oreilles de Jon. L'animal éjecté se rend naturellement dans les jupons de celle qu'il apprécie visiblement plus que son propre maître.

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Jameth Svensson
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MessageSujet: Re: let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) EmptyMer 20 Mai - 18:42

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Ses yeux filaient sur ce corps qu'elle croyait connaître par cœur. Que ça soit le labyrinthe des veines ou les brisures des muscles sous la peau, l'aine trop marquée ou le ventre aplati, la jeune femme y avait posé ses mains et ses lèvres avec délectation. Elle pouvait retracer les yeux fermés les reliefs de sa peau. Du moins elle le pouvait deux semaines auparavant. L'ouragan était passé sur la peau de Jonathan, et elle ne reconnaissait plus rien dans les ruines qu'il avait laissé. Peu importe, elle en réapprendrait la géographie : ils passaient suffisamment de temps dénudés et sur le lit pour que toutes les gammes de sa peau lui reviennent en tête. Tu as oublié des bandages … Plus bas. Jameth haussa un sourcil avec un sourire amusé, suivant le regard que Jonathan portait sur le pantalon qui lui recouvrait encore les jambes.  « Ah oui … Les terribles blessures que tu as aux jambes, hm ? » Rétorqua-t-elle et ses doigts filaient déjà à la lisère du jeans de son amant, laissant frissonner la peau sous ses doigts. Quand Jon rouvrit la bouche pour parler et lui dire qu'il voulait voir les ravages sur sa peau, elle se contenta d'un hochement de tête. Pas sûr que ça soit une bonne idée ; les traces auraient beau s'atténuer, elles resteraient là avec les années pour cartographier ses souffrances et personne ne prendrait ça bien en lisant le futur apocalyptique de sa peau dans un miroir. Mais elle ne pouvait pas l'en empêcher, et tôt ou tard le milicien irait bien fixer son reflet dans le miroir.
Ses doigts firent sauter le bouton du pantalon, et tirèrent sur le tissu pour l'envoyer au sol.  « Que de terribles blessures dis-moi ... » Lança-t-elle en se peignant d'un air faussement tragique, bien vite avalé par le rire qui lui monta aux lèvres. Un moment, elle fut tenté de se glisser entre les jambes de Jon, doigt puis bouche, pour l'entendre ruer et jurer de plaisir mais l'épreuve du miroir passait avant. Jameth s'apprêtait à lui prendre le poignet pour l'entraîner de la salle de bain, mais elle sentit une boule de fourrure entre ses chevilles et baissa les yeux pour voir Fuzz. Évidemment. Un instant, l'envie terrible la démangea de prendre le chat dans ses bras pour le câliner et compenser le manque d'affection que lui donnait Jonathan – ce salaud – et lui faire oublier Lucky qui régnait en maître incontesté dans tout l'appartement. Incroyablement, elle réussit à résister aux deux grands yeux braqués sur elle et se contenta d'une grattouille entre les oreilles avant de reporter son attention sur Jonathan.  « Alors ? On va voir ? »

Quand ils se tinrent dans la salle de bain, face au miroir, Jameth resta silencieuse, juste derrière Jon, à fixer la longue cicatrice qui suivait la courbure de sa colonne vertébrale. Une parmi plusieurs, mais la seule qui soit aussi longue, aussi macabre. Qu'est-ce que t'as bien pu faire pour qu'on te donne ça comme châtiment?. Pas un enfant de chœur, le milicien. Mais qu'est-ce qui aurait poussé des enfants de l'atome à lui infliger une telle sentence, à le laisser crever dans un caniveau comme un chien ? Parce que Jameth ne s'y méprenait pas ; qu'elle arrive une dizaine de minutes plus tard et elle n'aurait plus retrouvé qu'un cadavre. Ceux qui avaient fait ça voulaient voir son trépas, pas seulement lui inculquer une leçon à coup de feu et de poings. Presque gênée, les tripes un peu retournées par cette beau encore brune et cloquée, la jeune femme finit par détourner le regard pour le laisser continuer seul son inspection dans le miroir. Distraitement, elle fit courir ses yeux sur sa main, puis sur la douche qui contenait une de ses bouteilles de shampoing, sur la serviette suspendue au radiateur … Et puis sur le tiroir à demi-ouvert dans le meuble de la vasque d'eau. De là où elle était, elle voyait la brillance d'un sachet plastique. Qu'elle se penche encore un peu, elle aurait vu ce qu'il contenait. Elle n'en avait pas besoin, elle savait pertinemment ce qui était stocké là-dedans. Alors, la jeune femme tendit le bras pour refermer le tiroir avec un léger claquement, restant la bouche muette quand à ce qu'il pouvait bien contenir. Une certaine lassitude pointa, mais pas l'envie de se livrer de nouveau à des batailles avec Jonathan pour lui faire comprendre à quel point elle détestait ça. Ce n'était pas sa place, elle le savait, elle s'en contentait, et si jamais elle osait de nouveau s'aventurer sur ce terrain glissant elle était sûre que le brun arriverait assez vite à lui rappeler ce qu'elle était. Une amante. Un plan cul, pas sa petite amie ni rien de tout ça. Si seulement elle pouvait définitivement s'en convaincre, et claquemurer ce qu'elle venait de voir dans un coin de sa tête, elle en aurait été particulièrement reconnaissante. Mais il y avait d'autres moyens de chasser les démons dans sa tête et elle préféra se glisser entre Jonathan et le miroir. Sa bouche souriaient, ses yeux crépitaient, peut-être même un peu trop pour que ça ne soit que de joie. Avec douceur, elle effleura les brûlures sur les poignets du milicien.  « Si jamais tu trouves tout ça laid… Je peux te montrer que moi au moins ça ne me dérange pas. » Lança-t-elle en se hissant sur la vasque.  « Et j'ai plein d'idées qui me viennent en tête pour te le prouver. » Plein d'idées, fourmillantes et brillantes, cherchant à engloutir les démons du tiroir de la salle de bain. Au lieu de parler plus avant, la jeune femme préféra étreindre les hanches de Jonathan de ses jambes couvertes de noires et ses épaules de ses bras. Pour sûr que la salle de bain ne serait pas des plus confortable, mais la chambre ou le canapé étaient bien assez proches pour y bifurquer d'ici quelques minutes.   « Ou le champagne en premier ? » Ca aussi ça lui ferait du bien, de l'alcool dans le gosier et dans le ventre.
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MessageSujet: Re: let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) EmptyMer 20 Mai - 20:38

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jon ∞ jameth

get these bandages off, you cant stand, you can walk. leave these towels apart you get up, you get out into the sun ✻✻✻ Les terribles blessures qu'il a aux jambes. Bien évidemment. Pour l'un comme pour l'autre, elles sont invisibles. Inexistantes. Si Jon est le premier à le savoir, la jeune femme n'échappe pas non plus à la règle. Il ne s'agit là que d'une excuse n'allant simplement pas droit au but et se trouvant gangrenée par un sous-entendu évident. Occupes-toi de mon pantalon, maintenant. Voilà le vrai but. Alors les pupilles du milicien posées plus bas invitent celles de l'infirmière à les suivre en attendant que ses mains s'activent comme bon lui semble. Un sourire sur son faciès malgré quelques interrogations subsistant au sein de son esprit, il observe les doigts qui s'attaquent au haut de son jeans. Habitués depuis au moins trois années lorsque ce n'est pas lui-même qui s'en occupe. Pourtant, bien que la laissant continuer, il est obligé de signaler qu'il a besoin de voir les cicatrices dans son dos. Que l'air de rien, ça le travaille. Mais cela n'empêche pas Jameth de continuer – et heureusement, Jon compte sur le fait qu'elle termine ce qu'elle commence tout juste. Ce sera une autre épaisseur de moins sur lui. N'ôtant pas complètement son rictus, surtout lorsqu'elle fait sauter le bouton de son pantalon et lui ôte entièrement – ce dernier glissant au sol, il s'accorde un léger rire. Que de terribles blessures dis-moi... C'est un énième regard complice qui se perd, le jeune homme étant particulièrement amusé par la comédie de la jeune femme. Peut-être car ils ont partagé beaucoup moins de moments de détente ces derniers temps. La plupart ne duraient pas, bien vite coupés en raison de l'une de ses crises, par exemple. Ou bien encore d'une douleur le prenant sans prévenir. Mais ce qui lui manque plus, évidemment, ce sont leurs bêtises sous la couette.

Soudain, attirant l'attention de Jonathan, des miaulements résonnent. Celui de Lucky bien vite suivi d'un plus terrorisé de la part de Fuzz qui se réfugie dans les jupons de Jameth. Ce n'est pas une première pour lui. Un tel spectacle se produit au moins une fois si ce n'est plus lorsque cette dernière est dans l'appartement et bien souvent, le brun est lassé lorsqu'elle se détourne de lui pour s'intéresser à l'animal. Particulièrement lorsqu'ils sont occupés ou s'apprêtent à s'envoyer en l'air. Là ça va, ils n'en étaient même pas à des préliminaires mais quand même. Il ne peut dissimuler une faible grimace, espérant au fond que l'infirmière ne va pas se mettre à prendre Fuzz dans ses bras pendant quelques bonnes minutes. Heureusement, non. Elle se contente d'une vulgaire grattouille puis reporte ses yeux sur lui. Il aime mieux ça. Alors ? On va voir ? Jon hoche positivement la tête en guise de réponse. Néanmoins, avant de sortir de la pièce, il prend tout de même le temps d'accorder lui aussi une caresse à Lucky. Oui, le favoritisme est monnaie courante avec lui.

La suite est un retour à la mauvaise humeur. Un passage qui ne va pas durer éternellement mais qui fait son effet sur le moment et surtout sur le concerné. Une fois devant le miroir de la salle de bain, Jonathan découvre. Suffisamment sur le côté pour distinguer les marques, de néfastes ressentiments l'envahissent. Lui assèchent presque la bouche. Devant ce spectacle, il reste muet. Incapable de dire quoi que ce soit – tout comme il est actuellement impossible pour lui d'afficher autre chose comme expression que de la contrariété. Presque du dégoût. De la haine. Il sait que continuer à regarder ces cicatrices n'arrange en rien son mental et pourtant, il reste là à les fixer. Il ne parvient pas à détourner ses yeux même en sachant que Jameth se trouve derrière lui depuis le début. C'est horrible. C'est moche. Le milicien n'arrive plus à reconnaître son propre corps.

Il aurait pu rester là des heures à fixer son reflet dans le miroir. Des heures à maudire ses bourreaux, à se maudire lui-même ou encore maudire le monde entier. Sauf que, comme répondant à un appel silencieux de détresse, le sortant de ses songes les plus malsains, Jameth se glisse entre lui ainsi que son reflet. Survolant en douceur ses poignets tout autant marqués. Parvenant à lui arracher d'autres frissons, à dévier ses pensées actuelles sur autre chose. Sur elle. Si jamais tu trouves tout ça laid... Je peux te montrer que moi au moins ça ne me dérange pas. Elle accapare désormais son attention. L'observant se hisser sur la vasque, ses pupilles scintillent d'une lueur de curiosité. D'intérêt. Et j'ai pleins d'idées qui me viennent en tête pour te le prouver. Inutile d'être devin – surtout pas dans son cas pour deviner à quoi elle songe. Car il se trouve que les mêmes idées viennent lui effleurer l'esprit lorsqu'il glisse ses yeux sur ses cuisses entourant sa taille. En réponse à sa provocation, ses mains viennent instinctivement attraper le bas de ses jambes. Il l'attrape ensuite, la portant contre lui. Ressentant bien évidemment les effets de sa convalescence de deux semaines. Non pas que l'infirmière lourde, loin de là, c'est seulement quelques courbatures qui se manifestent. Qui embêtent Jon sans pour autant l'empêcher de la tenir. Ce n'est rien ça. Ou le champagne en premier ? Sans rétorquer de suite, il lui laisse le temps de placer ses bras autour de lui puis s'écarte du vasque. Contre lui, elle ne risque rien. Contre lui, il a envie de lui faire bon nombres de choses. A commencer par lui voler un baiser soudain. L'échange entamé, il mène de lui-même la danse. Leurs langues l’entremêles, fougueuses et envieuses. Voilà un bon moment qu'elles sont liées par des liens invisibles, si familières lorsqu'elles se retrouvent entre-elles. Mais malgré le baiser, le milicien en profite pour emporter la jeune femme dans la pièce d'à côté.

Avant de le couper l'espace de quelques secondes. Le temps de reprendre leur souffle, le temps qu'il lui réponde. « Et pourquoi pas les deux en même temps ? » C'est un peu tard, certes. Faute à ses priorités – soit le baiser. Juste après, capturant de nouveau ses lèvres, il fait de son mieux pour les guider tous deux au sein du salon sans vraiment savoir où se situe la fameuse bouteille rapportée par Jameth. Si ça se trouve, elle est dans la chambre et il ne l'a pas vue. Enfin... Essayez, vous aussi, de vous concentrer sur trois choses à la fois. Bien trop pris par le baiser en plus de porter la jeune femme – avec un œil à demi ouvert, il décide pour le moment de l'emmener avec lui contre le canapé. Faute de ne pas vouloir s'épuiser aussi rapidement. Aussi facilement. Premier assis, il la laisse contre elle le temps de finir leur affaire. Glissant ses mains sous sa robe, sur ses cuisses. Le désir charnel est bien installé. Si évident entre-eux. Il ne s'écoule d'ailleurs qu'une minute avant que Jon ne laisse ses doigts chanceler jusqu'à l’extrémité de ses bas. Lentement, il roule le premier dans le but de lui ôter. Puis se stoppe au dernier moment – alors que le baiser se termine. Il est beaucoup plus amusant pour lui de remplacer ses doigts par ses dents. Chose qu'il fait, parvenant à lui retirer le premier bas sans l'avoir lâché des yeux. Mais avant de s'en prendre au second, de nouveau, il redresse légèrement la tête. « Alors il est où, ce champagne ? »

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Jameth Svensson
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MessageSujet: Re: let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) EmptySam 30 Mai - 23:52

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These bandages cover more than scrapes, cuts and bruises from regrets and mistakes, I've been hoping your moping around the street again, I've been tripping from sipping the dripping dirty water tap, I've been poking a voodoo doll that you do not know I made, These bandages are anonymity.
Elle n'avait pas envie de se noyer dans des pensées sombres et empoisonnées. Pas ce soir. Elle en avait eu sa dose les derniers jours et à force de s'empoisonner de noirceur elle avait l'impression de redevenir une adolescente insupportable dans un cercle vicieux de destruction par ses propres mains. Ses yeux voyait toujours la vie comme un monochrome gris, mais parfois un tube de peinture y éclatait en l'inondant de rouge et de jaune, de toutes les couleurs chaudes possibles et elle n'avait que la peur dans le ventre à l'idée d'en faire de nouveau une mixture boueuse et poisseuse. Alors au diable les paradis dans le tiroir de Jon, au diable la putréfaction quotidienne de la morgue, ce soir elle avait bien le droit d'aimer la vie pleinement. Et si c'était les bras du milicien qui renfermaient une des étincelles de l'existence, pour une fois Jameth avait bien le droit de s'y enfermer en laissant de côté la porte close de sa poitrine qui s'ouvrait lentement, jour après jour. Elle avait bien le droit de ne pas y penser. Ses bras se crochetèrent autour des épaules de Jon tandis qu'il la transportait hors de la salle de bain et qu'elle logeait son nez dans son cou. Odeur d'alcool et de sueur, odeurs des médicaments et du désinfectant. Sa bouche s'en peinturlura alors qu'elle embrassait et rongeait délicatement la peau de ses dents jusqu'à y imprimer une marque violacée et grotesque. Il y en avait d'autres plus pâles à côté, vieilles, qui n'étaient pas de son fait. Elle s'en foutait bien. Pas besoin que les hanches de Jon ne se nouent qu'avec les siennes pour qu'elle ait le droit de frissonner et de s'attacher à lui. Elle-même ne se gênait pas pour faire passer une tripotée de gars entre ses draps et ses cuisses.
Et quand le milicien cause, pourquoi pas les deux en même temps, elle sourit avec les yeux qui pétillent.  « Ca serait bête de casser un verre. » Et ma peau ou la tienne, tu peux pas les casser. L'extérieur, ça s'abîme pas comme ça. Elle se noya de nouveau contre la bouche de Jon, les mains dans ses cheveux, crispées autour des mèches brunes. Docilement elle se laissa porter jusqu'au salon alors que son ventre pressé contre le sien l'incendiait délicieusement, remontant à ses joues pour les rougir, détalait entre ses cuisses pour les brûler.

Sur le canapé, installé sur lui, elle ne relâcha pas pour autant l'étreinte de ses cuisses ni celle de sa bouche et ses hanches s'encastrèrent contre les siennes dans un mouvement de danse lubrique et outrancière. Sa bouche entre ses cuisses aurait été mieux pour le faire crier, ou ses reins dépouillés de vêtement. Mais se gorger de lenteur ne faisait que rendre le feu plus vivace, à ce qu'il paraissait. Sur l'instant, ça la frustrait. Ca la frustra encore plus lorsque les doigts de Jon se glissèrent sur ses cuisses pour ôter les bas noirs et trop encombrants. Pour un peu elle lui aurait saisi le poignet pour que la pulpe de ses doigts roule contre son aine mais elle resta sage et coite, un sourire aux lèvres alors que ses yeux s'empoisonnaient dans ceux de Jon tandis qu'il usait de ses dents pour retirer l'autre bas. Bien vite remplacée par une moue boudeuse quand il ouvrit la bouche pour autre chose que l'embrasser ou la cajoler.  « Je vais le chercher. » Mais pas avant d'avoir noyé ses derniers mots dans un autre baiser. Elle se redressa à regrets, presque tremblante sous l'envie, s'empreignant d'une grâce lubrique en quittant le salon pour rejoindre le couloir. Le champagne était sur une commode dans l'entrée, Fuzz à côté. C'était presque un miracle qu'il n'ait pas envoyé valser la bouteille au sol, et elle la récupérera prestement avant qu'il ne se décide à se faire plus de place sur la surface.  « Rends grâce au dieu alcool, il est intact. » Lança-t-elle en rejoignant de nouveau le salon et les genoux de Jon sans traîner. La bouteille déposée au sol, elle tordit ses bras pour les glisser dans son dos et faire rouler la tirette de sa robe écarlate jusqu'au bas de son dos. Un dernier soubresaut des épaules et le tissu valsa sur le canapé, ne laissant plus qu'une lingerie bien trop provocante et parfaitement calculée – ceux qui osaient croire que les donzelles portaient toujours de la dentelle noire et assortie étaient bien naïfs.  « Alors ... » Commença-t-elle, mais ses dents s'agrippèrent autour du bouchon de liège avant qu'elle ne daigne continuer. Avec un pop sonore, il se délogea du goulot et elle le recracha sur le sol avant de porter la bouteille à ses verres et de la dégorger dans sa bouche. Elle n'aimait pas l'alcool, d'ordinaire. Elle se méfiait des démons dans les bulles et dans l'éthanol, mais pour une fois elle pouvait bien faire une exception. Elle avait bien le droit à un verre de champagne, voir même à plus, pour s'enivrer elle et la nuit. On disait que l'oubli et des relents de paradis reposaient au fond des bouteilles, et quel mal y avait-il à vérifier ça, juste une fois ?   « Tu as trouvé un verre qui te plaît ? » S'enquit-elle, de la mousse au bord des lèvres tandis que de deux doigts, elle faisait sauter les agrafes de son soutien-gorge. Le bout de tissu dégoulina de ses épaules pour libérer ses seins et le rose de la cicatrice entre eux. Que les bulles glissent sur elle et la chair boursouflée ferait une excellent verre, bien plus exaltant que n'importe quel cristal luxueux. Elle était presque sûre que Jon saisirait l'occasion ; l'invitation était trop outrancière sur sa langue pour qu'il l'ignore.
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Jon Dmitriev
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MessageSujet: Re: let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) let me stand, let me walk ◊ jameth (porn inside) EmptyDim 31 Mai - 19:08

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get these bandages off, you cant stand, you can walk. leave these towels apart you get up, you get out into the sun ✻✻✻ L'emportant contre lui, la menant jusqu'au salon, il ne se laisse plus envahir par de mauvais sentiments. Par ceux qui lui ont arraché quelques grimaces un peu plus tôt. Qui ont entaché son humeur, apporté de la rancœur. Foutues cicatrices. De toute manière, ça, il n'a pas le choix. Il sera forcé de les porter jusqu'à ce qu'elles finissent par se dissiper. Alors autant en profiter. Cette journée signe la fin de sa convalescence qu'il compte bien fêter comme il se doit en compagnie de Jameth. Elle n'a pas apporté le champagne pour rien, non ? Glissant doucement sa langue contre ses lippes lorsque le baiser est rompu, laissant cette dernière profiter de sa chaleur. Puis recommençant une danse entre leurs deux langues avant de s'installer avec elle sur le canapé. Ses fesses profitent du confort du mobilier tandis que celles de l'infirmière restent calées sur ses genoux. Il sent ses cuisses qui s'agrippent toujours autant à sa taille, qui le tentent, qui le provoquent. Il n'a qu'une hâte, ne faire plus qu'un avec son corps si habitué par leurs plaisirs charnels – mais privé depuis bien trop longtemps. Pourtant, loin de se montrer aussi pressé qu'un puceau en chaleur, il prend un minimum son temps. Jonathan commence à retirer ses bas en usant de ses dents. S'occupant seulement du premier avant de redresser la tête. La questionnant sur cette fameuse bouteille qu'elle a amené et qu'il n'a malheureusement pas trouvé en l'amenant ici. Ce qui est fort dommage pour la suite de leurs festivités, surtout avec les nombreuses idées traversant l’esprit du milicien. Il a autant soif des courbes de Jam que de boisson alcoolisée. Il quémande les deux à la fois, de la meilleure façon qui soit. Et la jeune femme connaît déjà cette manière de faire.

Un sourire autant complice que dévergondé illuminant son faciès, il est amusé par la mine boudeuse qu'elle affiche. Sûrement un peu frustrée, aussi. Jon ne le devine que trop bien. Je vais le chercher. Une réponse suivie d'un énième baiser auquel il se fait un plaisir de répondre, lui laissant par la suite aller chercher le champagne. Mais à peine est-elle relevée qu'il ressent comme un courant d'air bien trop frais lui passant sur les cuisses. Sur le ventre. Il regrette sa chaleur qu'elle a emportée avec elle plusieurs instants. Alors lors de ceux-ci, il se contente de faire glisser son regard joueur sur sa délicieuse silhouette. Celle qui s'éloigne puis revient une fois la bouteille en main. Rends grâce au dieu alcool, il est intact. La remarque le fait encore sourire, doucement, ne s'en inquiétant pas plus que cela. Même s'il aurait forcément un peu grincé des dents si Fuzz ou Lucky en avait profité afin de faire valser la bouteille sur le sol, loin de leur attention à tous les deux. « Tu sais bien qu'au pire, j'ai aussi quelques bouteilles qui traînent. » Après, voilà. Il possède un frigo plutôt bien rempli – certes moins qu'avant son accident mais suffisamment pour dépanner. Pressé que l'infirmière revienne se poser contre lui, il lui offre une faible grimace qui veut tout dire. L'observant revenir en sa direction, poser le champagne au sol avant de se hisser à nouveau sur ses genoux. Jon retrouve enfin cette chaleur. Cette sensation. Lorsqu'elle commence à ôter sa robe puis la laisse glisser sur le sol, il ne l'entrave pas. Il l'observe avec cette fameuse lueur au fond des pupilles, reste bien sage le temps qu'elle lui sorte le grand jeu. Même si intérieurement, il est frustré. C'est à son tour d'opter pour une légère mine boudeuse qui se délecte toujours de ses formes, de son corps à découvert – maintenant en sous-vêtements. Si Jameth doit connaître toutes les parcelles de sa peau, cela va dans les deux sens. Mais quoi qu'il en soit, il est toujours insatisfaisant de ne faire qu'observer. Sans toucher.

Lorsqu'il lève sa main envieuse qui glisse sur l'une de ses épaules, elle ouvre la bouche. Alors... Et il arque encore un sourcil, l'air innocent ne lui allant pas alors que son imagination s'active déjà. Depuis qu'ils sont dans la salle de bain, en vérité. Il lui en faut peu pour songer à toutes sortes de pratiques qui lui offrent une vie sexuelle suffisamment remplie. Qui varie – bien que certaines choses restent évidemment les mêmes. Mais croyez-le ou non, après glissé au sein de son lit autant de conquêtes, chaque expérience n'est jamais identique. Il y a toujours ce quelque chose qui se démarque dans le bon comme dans le mauvais sens. C'est pour cela que régulièrement changer de parfum lui est nécessaire. Pour cela qu'une vie de couple random est à proscrire pour lui. Loin de se perdre au sein de songes, surtout dans une telle situation, Jon augmente son rictus en voyant la boisson alcoolisée glisser sur le haut de la jeune femme. Tu as trouvé un verre qui te plaît ? Suivi de son soutien-gorge qu'elle ôte sans même lui quémander son aide. Il n'est d'ailleurs pas habitué à la voir boire autant, celle-ci faisant souvent de l'abstinence à ce sujet, mais ne va pas s'en plaindre. Sans aucun commentaire, son attention est toute accaparée par les deux verres qu'elle lui propose. Deux verres composés de chair fraîche, de plaisir, à déguster sur place. Inutile de le prier afin qu'il réponde à cette invitation bien trop alléchante. « Les deux. Sans hésiter. » Sans attendre plus longtemps, ayant déjà trop patienté à son goût, sa tête se penche. Ses lippes s’entrouvrent et laissent sa langue atteindre ce qu'elle convoite. Alors qu'il laisse cette dernière valser sur la poitrine de la jeune femme, récupérer le champagne, ses deux mains viennent caresser ses bras. Se calant par la suite au même niveau que son visage se trouve pour ne pas qu'elle s'éloigne lors de sa dégustation. Il s'amuse d'ailleurs à venir titiller l'un des bouts de chair, son regard se redressant pour plonger dans le sien, l'air malin. Provoquant. Continuant plusieurs instants son acte en remplaçant parfois ses dents par sa langue qui se montre évidemment plus douce. Quand enfin, il se redresse, il attrape à son tour la bouteille. Se délecte d'une ou deux gorgées sans la quitter des yeux. Avant d'enchaîner. « J'en reprendrais bien. » Et sans attendre son approbation évidente, Jon penche le champagne vers le corps de Jameth. Laissant le liquide recouvrir une nouvelle fois sa peau et glisser beaucoup plus loin que tout à l'heure. Comme cette goutte qui loin de se stopper à la poitrine, continue en passant par le ventre puis vers la culotte de cette dernière. Et comme ce liquide, le brun compte se rendre plus loin. Il s'attaque de nouveau aux verres de chair présentés puis descend, sa langue traçant comme une ligne tout le long. Faisant une pause vers son nombril, le visitant, jusqu'à arriver non loin d'une zone plus sensible. Mais ce sont, à la place de ses dents, sa main libre prenant relais en venant à la dévêtir entièrement – avec un peu d'aide et laisser le bout de tissu rejoindre ses semblables au sol. D'ailleurs, avec toujours la bouteille au sein de l'une de ses mains, il est plus embêté pour s'occuper de son propre sous-vêtement. Son boxer qu'elle n'a pas eu l'occasion de lui ôter un peu plus tôt. Sur un ton joueur, Jon recule légèrement. Lui laisse l'accès libre puis ajoute. « Et toi, est-ce que tu veux déjà goûter au dessert ? » La bosse est clairement visible et honnêtement, il commence à se sentir étriqué avec ce bout de tissu. Ne ressentant pour le moment aucune vraie douleur provenant de ses cicatrices. En revanche, il se doute qu'elles risquent de resurgir un peu plus tard, lorsqu'ils seront passés à quelque chose de plus sérieux.

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