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these losers are too repellent to waste time feeling sorry for. (bart)

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Salvo Capone
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Salvo Capone


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MessageSujet: these losers are too repellent to waste time feeling sorry for. (bart) these losers are too repellent to waste time feeling sorry for. (bart) EmptyLun 25 Mai - 18:43


Le téléphone sonne dans le vide depuis des heures. J'ai arrêté de compter le nombre d'appels manqués à partir de cinq. Les chiens ont relevé la tête pour m'observer lorsque j'ai laissé tomber mon corps sur le canapé. Un long soupir traverse me lèvres alors que le silence de l'appartement se referme un peu plus contre mon cerveau. J'ai eu la sensation qu'en me levant ce matin, le monde avait cessé de tourner. Depuis, elle ne me lâche plus. Anies n'était pas là pour m'obliger à sortir les chiens avec lui. Cela fait des jours que je ne l'ai pas vu d'ailleurs, à croire qu'il commence doucement à s'habituer au manque. Je pourrais le tuer lorsqu'il disparaît comme ça, du jour au lendemain, sans donner de justification. J'sais très bien que mes réactions sont contrôlées par une fierté démesurée, incapable de supporter l'idée même qu'on puisse l'oublier. Ce doit être pour ça que je réagis un comme un con la plupart du temps. Mon dos craque lorsque que je me redresse difficilement du canapé. Mes sourcils se froncent et mes yeux se posent sur l'épaisse couche d'humidité du mur d'en face. Quelques cafards dansent sur le parquet avant d'aller se cacher sous les meubles. Un des chiens les aperçoit et tente de les chasser. Il parvient même à en choper un et l'avaler.
Mais merde,
comment on peut vivre dans un tel appartement ?
Fin non, à ce stade on peut même pas appeler ça un appartement. Un squat, à la rigueur. Et encore. Bien sûr que j'ai le fric pour me payer un véritable studio mais je suis certain que je m'y sentirais pas à ma place. P't'être que je fais ça pour me rappeler ma nature profonde, j'sais pas. J'ai tué mon gosse après tout, je mérite pas mieux que cette boîte à humidité. Les murs sont si jaunes à un endroit qu'on peut deviner les traces d'urine que les chiens ont laissé. La loi du plus fort, encore une histoire de mâles.

Une grimace se dessine sur mon visage lorsque quelqu'un tape à la porte. J'fais le mort dans ma cuisine mais les coups persistent. Ma gorge se noue une seconde pour m'empêcher de gueuler. Vêtu d'un simple jogging mes pas me guident lentement vers l'entrée. Clope au bec, la porte s'ouvre et les traits de mon visage se détendent. J'pensais pas le voir venir ici, lui, le prince paranoïaque. Mon regard se perd une seconde dans le sien avant de reculer de quelques pas pour retourner vers le canapé.
J'vois que le prince a quitté son palais.
Ma voix pue le cynisme, je me fous doucement de sa gueule sans pour autant douter de ses capacités. Okay, mon frère est peut-être légèrement taré mais on peut pas lui en vouloir vu le cadre familial dans lequel on a évolué. Il aurait pu devenir bien pire, comme un mec qui se branle aux sorties d'école. C'est pas dans ses habitudes de venir me voir. Surtout ces derniers temps, ça fait combien de jours que l'un n'a pas demandé de nouvelles à l'autre ? Les quatre chiens se mettent à gueuler comme des possédés lorsque l'intrus entre dans l'appartement. Parce qu'à chaque fois que Bart se pointe ici j'ai toujours l'espoir qu'il y vient pour régler ses comptes. J'imagine ses poings serrés et son visage déformé par la colère. Je visualise sa haine et les coups qu'il pourrait me donner. Qui sait, avec un peu de chance les balles pourraient se mêler à la fête. Ce serait jouissif de se faire massacrer par sa propre famille. Encore plus jouissif de ne pas en revenir. Une nuage de fumée quitte mes lèvres, la cendre s'écrase sur mon torse, c'est sans importance. Mes yeux sont obnubilés par sa présence maintenant, c'est trop tard pour le laisser repartir sans rien dire.
T'as une sale gueule.
Les règles de politesse, je connais plus. Mes mots sont agressifs, un peu désintéressés aussi. Je lui balance ça à la tronche parce que rien d'autre me vient sur le moment. C'est difficile d'admettre qu'on puisse être frères et d'avoir si peu de choses à se dire. Notre père a pas seulement déteint sur Bart, il nous a forgé à son image, tous les deux. Je pensais y avoir échappé mais je suis la même merde. Le sang qui nous alimente provient d'un poison identique. Je le regarde et j'ajoute rien, j'attends. Je sais qu'il va finir par me déballer ce qu'il a sur le cœur. Bart' a forcément quelque chose à me demander sinon il ne serait pas là. Personne ne vient voir Salvo Capone sans avoir besoin de ses services. J'ai si peu l'habitude des visites de courtoisie que j'ai fini par oublier qu'elles pouvaient exister. Les relations humaines, cette légende urbaine. Ma main se redresse et se pose lourdement sur mon torse que je caresse du bout des doigts pour y enlever les restes de cendres.
Alors, Bart', quelle folie t'inspire l'envie de venir me voir ?
Crache.
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Afanasiy Mogilevich
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Afanasiy Mogilevich


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MessageSujet: Re: these losers are too repellent to waste time feeling sorry for. (bart) these losers are too repellent to waste time feeling sorry for. (bart) EmptyMer 3 Juin - 3:34


c'est avec toi que
je m'engueule le mieux
Le téléphone qui sonne dans le vide. Les sonneries qui s’enchainent, la musique chiante qui vrille les oreilles. La colère qui grimpe dans le gosier. Le cigare qui s’écrase dans le cendrier d’un grésillement rageur. Y’a les étincelles dans le regard, les insultes qui naissent dans la barbe. Putain de frère de merde. Il croise un reflet furtif dans le miroir, une ombre de l’homme qu’il est. Y’a la sueur qui perle sur son front, les centaine de cristaux ronds. Les yeux couleur sang où trônent ses pupilles dilatées. Les couleurs qui se sont enfouis sous la peau, laissant le blanc reprendre ses droits sur ce territoire. La fatigue qui le saisit, pèse sur ses paupières qui peinent à rester ouvert. Il leur ressemble, à la vermine sur les trottoirs, les bras pleins de trous et le nez en sang. Il a la gueule du camé en manque. Celui qui supplie le dealer, celui prêt à tout pour une petite dose en plus. Sa mâchoire qui grince, les crocs qui s’entrechoquent, le regard orageux. Le téléphone qui sonne de nouveau. Décroche, putain. C’est de sa faute, cet état. C’est toujours de sa faute. Les Capone et leur foutus mutations, chieurs chacun à leur façon. Bartolomeo réajuste sa cravate, le regard distrait par le bois de grande qualité qui compose son bureau, contemple la possibilité d’y piquer une petite sieste, en attendant que Salvo décide de se ramener. Seulement, il le connaissait trop bien pour savoir qu’à ce stade, il n’allait probablement pas se bouger. Il avait bien plus de chance de se rendre dans le trou à rats du fauve, à l’autre bout de la ville, au milieu des malfrats de son genre. Nouvelles insultes entre ses lèvres, l’italien naturel qui revient au galop. La petite clé qu’il garde autour du poignet se glisse dans la serrure du tiroir. Ce qu’il ne faut pas faire pour tenir le petit dernier loin de ses possessions. Un petit sachet de poudre, histoire de pouvoir tenir la route. L’homme se trouve réduit à se faire une ligne de coke pour la route. Son chauffeur l’attend en bas, responsable, lui au moins. Ils prennent la voiture la plus discrète, moins susceptible d’être rayée au sein de leur destination mal famée. Il fait tache encore pourtant, Bartolomeo au milieu des rats. Il a beau y avoir passé son lot de journées, fréquenter toutes les racailles du quartier. Il a changé, maintenant. Le costume trop bien taillé, les deux tas de muscles qu’il trimballe partout où il va. Il fait tourner les tête, rayon de soleil dans la pénombre de leurs sombres vies. Personne ne se doute vraiment de ses réelles occupations ici. Il pue la mafia à plusieurs mètres à la ronde. Alors les sous-fifres courbent l’échine, quelques rebelles osent maintenir leur regard un peu plus longtemps que les autres. Mais ils finissent tous par se dégonfler, ceux-là, ils ne sont pas encore prêts à crever pour des idées. Pas comme les abrutis qui s’engagent dans l’armée, pour se battre pour la gloire d’un pays déchu. Peut-être parce qu’ils ne seront pas enterrés comme des héros, le drapeau autour de leur cercueil, la fanfare militaire. Non, ces vauriens n’auront rien de plus qu’une balle au milieu des deux yeux, leurs cadavres laissés à pourrir dans le caniveau, l’affaire qu’aucun policier ne voudra bien toucher. De toute manière les flics sont à leur bottes par ici, quelques billets qui échangent de mains, les regards qui se tournent ailleurs, le tour et joué. Une armoire à glace laissée à l’entrée de l’immeuble, il emporte l’autre jusqu’à la porte de son frère, le laisse frapper sur la porte à sa place. Salvo met trois plombes à arriver, comme d’habitude. Certainement à espérer qu’on va se lasser avant qu’il n’ait eu la motivation de venir ouvrir. Abruti fini. Les pas finissent par se faire entendre et la porte s’ouvre sur le frangin. Fumée devant le visage, pas foutu d’enfiler plus qu’un jogging. Le nez qui se plisse à l’odeur nauséabonde qui se dégage du taudis qui lui sert de maison. Bart n’a jamais compris pourquoi Salvo s’obstinait à vivre dans ce trou à rat alors qu’il a largement les moyens de vivre au-dessus de ça, d’acheter la maison en face de la sienne même, quoique pas sûr que ce soit une bonne idée. Y’a quelques secondes de répit entre les frères, les regards qui se croise, une nouvelle lutte sans doute. Et puis Salvo retourne s’affaler sur le canapé, crachant son habituelle remarque cynique à la con. « Fallait bien venir voir si la princesse n’était pas crevée. » Même insolence stupide. Les clébards se donnent déjà à cœur joie, les aboiements sans fin, ça résonne dans sa tête. Un jour, il va vraiment les buter ces bestioles à la con. Le petit con pousse le vice jusqu’à faire remarquer sa sale gueule. L’hôpital qui se fout de la charité. « On se demande à qui la faute. » Grognements. Bart s’approche du canapé, sans crier gare, le poing vient s’écraser contre la joue du frère. Assez fort pour que combiné avec la surprise, Salvo ait la tête sur le canapé. « Succhiacazzi ! » Suceur de bites. Il grimpe sur le meuble, emporté par son élan de rage, deux poings de plus dans la figure. Des contacts brefs et pourtant, il se sent déjà un peu revigoré, comme une nouvelle ligne de poudre dans le nez. Si seulement, il avait été dans ses familles à la con, où tout le monde se prend dans les bras comme s’ils baisaient ou on ne sait quoi. Sauf que chez les Capone, ça se passe pas comme ça. On s’insulte, on se frappe comme des cabots enragés. Allez savoir qui sont les plus tordus des deux. « Tu m’expliques pourquoi tu réponds plus au téléphone ? C’est quoi la prochaine étape, tu laisses tes putes filer le SIDA à tout New York ? » Il aboie comme ses clébards de merde, peut-être que Salvo l’entendra mieux comme ça. Il a chaud putain, il a envie de se déshabiller, de se foutre à moitié à poil comme Salvo et se coller à son putain de torse. Mais il ne fait pas non, pas encore assez tordu pour ça, trop d’amour-propre, on sait pas, peu importe. Il n’a qu’à attendre que l’autre réplique, qu’ils se foutent sur la gueule. Assez pour qu’il soit rassasier, pas assez pour déclencher son propre pouvoir de merde. Tout ça à cause de son putain de don à son frère. Quelles foutaises. Peau de merde. Drogue de merde. Frère de merde. Vie de merde.
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Salvo Capone
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Salvo Capone


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MessageSujet: Re: these losers are too repellent to waste time feeling sorry for. (bart) these losers are too repellent to waste time feeling sorry for. (bart) EmptyVen 5 Juin - 18:01

J'ai une sale gueule, les traits tirés et les yeux rouges par la fatigue accumulée. Les chiens gueulent, Bart s'approche et mon téléphone vibre encore un peu. C'est le gros bordel. Ma tranquillité est en train de se faire la malle et mes nerfs se tendent. J'avais pas envie de le voir débarquer, que ce soit lui ou n'importe qui d'autre. Y a des moments comme ça où je ressens le besoin d'être seul. De pas avoir à parler, ni même regarder. J'aime bien cette sensation de ne devoir rien à personne, d'être une sorte d'entité paumée dont aucun ne se préoccupe mais maintenant c'est trop tard. Le grand frère est entré dans l'appartement, cela veut dire qu'il est venu jusqu'ici, que l'idée a fait son chemin. Bart ne fait rien sur un coup de tête alors forcément je peux pas le virer de chez moi. Je sais qu'il risque de gueuler, sinon, de se faire remarquer et rester le plus longtemps possible dans l'unique but de me faire chier. Je le regarde même pas arriver, j'entends juste ses pas mais je reste détaché par sa présence. J'ai pas envie de me casser la tête pour lui, j'en ai assez vécu ces derniers temps. Tout me casse les couilles, même son odeur m'irrite. C'est plus fort que moi, comme une sorte de puissance supérieure faisant de mon âme un pauvre pantin. J'ai la tête qui tourne un peu mais je tiens tant bien que mal le cap. Je vais pas me laisser aller maintenant. Parce qu'avec Bart on ressemble un peu à deux clébards sur le point de se foutre sur la gueule. C'est à qui prendra le dessus sur l'autre le premier. Mais aujourd'hui, je sais que je suis en position de force sinon il n'aurait pas fait le déplacement. J'réponds pas à ses plaintes, je le laisse gémir comme si la vie ne tournait qu'autour de lui. Mon corps réagit uniquement lorsque son poing vient s'écraser contre mon visage. Ma mâchoire se serre instinctivement alors que je me retiens de lui rendre ses coups.
Mais putain de merde,
qu'est-ce qui me retient de tous leur foutre sur la gueule ?
Qu'est-ce qui m'empêche de pas les envoyer chier et les lâcher, une bonne fois pour toute ? Parce que y a pas seulement Bart dans l'histoire y a aussi Dante mais je crois qu'avec lui c'est encore pire alors je préfère pas y penser.

« Succhiacazzi ! » J'réagis à peine sous ses insultes et ses coups pour lui montrer comme il peut me fatiguer parfois. Ça marche un moment, jusqu'à ce que ses poings ne se fassent trop insistants. Je dois ressembler au gentil chien de famille qui se retourne soudainement contre son maître. Mes mains attrapent ses poignets pour les serrer. On est pas dans une foutue cours de récréation Bart. Je suis pas un de tes employés bidons (c'est ce que disent mes yeux à cet instant). « Tu m’expliques pourquoi tu réponds plus au téléphone ? C’est quoi la prochaine étape, tu laisses tes putes filer le SIDA à tout New York ? » Des explications, toujours des explications. Quand est-ce que les gens comprendront que je n'en ai pas ? J'avais juste pas envie de répondre à mon foutu téléphone, je voulais pas parler. Les mots me font chier en même temps que les relations sociales. C'est pour ça que j'accepte plus personne dans ma vie en dehors des coups d'un soir sinon ça en devient vite invivable. Et quand je vois ce que ça donne avec mes frères, mes hypothèses ne font que se confirmer : les sentiments, quelle merde. On finit toujours par se faire prendre au piège et se retrouver complètement con. La preuve, Bart a l'air pathétique, là, au dessus de moi. J'aimerais qu'il soit plus fort, qu'il puisse combattre le manque à la simple force de ses neurones mais je sens bien que toutes les barrières sont brisées. Je peux entrer dans ses yeux et lire son âme en trente secondes. Rien n'est dissimulé, à vif.
J'sais pas, j'avais la bouche pleine. Les bites c'est mon fort comme tu l'as dit.
Bien sûr que je me fous de sa gueule, y a même un sourire dégueulasse qui se dessine sur mes lèvres. C'est fou ce que je peux être une tête à claques quand je m'y mets mais cette fois je ne regrette rien. Ce connard l'a mérité et je crois que je pourrais en rajouter encore une couche. La situation m'énerve tellement que je lui envoie une forte dose de drogue dans le sang. Tellement que je peux sentir ma peau me brûler à quelques endroits. Et pour la diffuser encore plus rapidement, le faire grimper au septième ciel, mes doigts le lâchent pour descendre le long de ses côtes et remonter légèrement sa chemise pour caresser sa peau. Je pousse même le vice jusqu'à redresser légèrement la tête et poser un baiser dans son cou. Ça peut paraître étrange mais c'est pas grand chose au final : mes lèvres sont simplement les plus concentrées en merde d'addiction.
Tu sais si je t'ai pas répondu au téléphone c'était pas pour que tu viennes. J'voulais juste pas te voir. Maintenant que tu sais que j'suis vivant tu peux dégager, je pense pouvoir me défendre seul. J'ai pas besoin de gardes devant ma porte, si tu vois ce que je veux dire.
Et cette fois, j'arrête de le toucher, je prends soin de remettre en place son t shirt et devenir un simple morceau de viande sous son corps.
Tu passeras le bonjour à Pietra et aux enfants.
Surtout à Pietra.
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