Sujet: ON VA BIEN PLUS LOIN AVEC UN MOT GENTIL ET UN FLINGUE, QU'AVEC UN MOT GENTIL TOUT SEUL. Dim 10 Mai - 20:55
Bartolomeo Capone
j’ai déterré la hache de guerre
◮ surnom : Des murmures dans les ruelles, du respect dans la bouche des sous-fifre. Don. Le chef, le boss. ◮ âge : Quarante six cadavres sanguinolent qui baignent dans la fange. ◮ origines : C’est le ciel bleu Sicile, les sourires aux crocs acérés, les gros cigares aux lèvres, les hommes aux costume taillés et argent pleins les poches. ◮ emploi : Chef de la pègre italienne. Le parrain de la mort, poudre, flingues, chair, le pouvoir qui vient avec. L’argent sale pleins les poches et le sourire pourri. Activités cachés derrière une façade de maison d’édition prestigieuse. ◮ statut civil : Marié. Vingt années de mariage consumé. L’ennui qui les a gangréné, chacun de leur côté. Les gosses qu’elle a élevés, la cuisine qu’elle confectionne encore. Quelques baisers, quelques sourires, le devoir martial dont il s’acquitte. L’amour évaporé, sorte de respect muet qui nait des cendres, des missions, un place parmi la famille, la vraie, l’étendue. ◮ orientation sexuelle : Bartolomeo, il ne sait pas toucher, il ne fait que détruire. Il n’a que ses dents pour mordre la chair, seulement ses ongles pour lacérer la peau et des doigts qui s’agrippent aux cheveux. Douteuse interprétation du consentement, quand Bartolomeo veut, Bartolomeo prend. Les femmes surtout, aux courbes alléchantes, des cheveux plus longs pour mieux les tirer, des hommes parfois, pour mieux les humilier. ◮ lieu de résidence : Des titres de propriété éparpillés sur toute la ville, de l’hôtel particulier à Manhattan à quelques appartement miteux au cœur du Bronx. ◮ traits de caractère : violent ; malin ; haineux ; fidèle à ses paroles ; colérique ; cruel ; pragmatique ; maniaque ; ambitieux ; rancunier ◮ mutation ou pouvoir : Contrôle des orgasmes. Il fait naître le plaisir entre vos reins, sans même vous effleurer. Il peut vous arracher les plus belles plaintes, sans même vous regarder. Il peut vous épuiser toute la nuit, sans même se fatiguer. À l’inverse, il peut également empêcher le point culminant d’arriver, flirter avec les frontières du plaisir, sans la dépasser. ◮ avatar : Brad Pitt. ◮ groupe : Highway to Hell. ◮ crédits : PATHOS.
La colère facile, la rage qui remue les entrailles, la voix qui monte, les yeux qui jette des éclairs et le pouvoir qui déconne. Le rouge qui monte aux jours autour, quelques gémissements, quelques tâches sur certains vêtements. Tout est très embarrassant ◮ Violence à fleur de peau, l’insulte facile. Un plaisir certain à voir couler le sang. Le traître, l’imbécile, l’inconnu peu importe. Même sa propre famille n’est pas épargné ◮ Attrait pour les relations humaines ruiné par son pouvoir. Même violence sous les draps. Limite du consentement franchie, piétiné par ses soins ◮ L’anglais parfaitement maîtrisé et pourtant, l’homme s’amuse à y ajouter sa petite note d’italien, accent imité à la perfection, il ment à tous et même parfois à lui-même ◮ Costume taillés impeccable, cheveux gominés, cigare aux lèvres, les clichés l’amusent, il en joue, un peu trop pesteront certains ◮ Légère paranoïa. L’arme toujours sous l’oreiller, pistolet et couteau pour être sûr de ne pas se manquer ◮ Une horreur profonde du café, le nez qui se plisse à l’odeur, une tare s’il était resté dans son pays ◮ Critique acerbe de tout ce que les américains considère italien. Habitué de deux trois restaurants réputés mais surtout authentique ◮ L’ennui facile, monstre impétueux qui s’infiltre dans sa vie. Recherche sans fin de remèdes éphémères, sensations fortes et quelques stimulations illicites, juste assez pour ne pas tomber dans l’infernale spirale de l’addiction ◮ Pragmatisme certain. Réseau tentaculaire de relations utiles, PDG, politiques, banquiers. Une protection qu’il offre aux mutants aux dons chatoyants. La capacité de trouver les mots, quand il le faut ◮ BONUS ; si jamais le business familial tombe en ruine, Bartolomeo ouvrira son cabinet psychologique avec un tout nouveau concept de thérapie, si vous voyez ce qu’il veut dire.
Que pensez-vous de la loi Abolition ?
Humains. Mutants. Même amas de cellules détestables. Animaux apeurés, poussés dans leurs retranchements. Tuer ou être tué. Le choix qui ne se fait pas, l’instinct de survie. Le désir de contrôle. Il s’en fiche de tout cela, il est passé à travers les mailles du filet, alors il est moins concerné. Il ne voit que l’opportunité formidable. Des capacités à cueillir, à porté de doigts, un sourire innocent pour masquer les crocs carnassier. Une protection qu’il offre aux traqués, moyennant argent ou services rendus à la Famille. Des relations qui se forment, des faveurs qui lui sont dû, les récoltes à ses ordres. La loi a crée la demande, Bartolomeo a répondu avec l’offre.
Quels souvenirs avez-vous des super-héros d'antan ?
Abrutis aux couleurs bariolées. Ils brandissaient fièrement les idéaux conçues de toute pièce par la société. Toujours la veuve et l’orphelin à sauver. Des bâtons dans les roues de la Famille. Désapprobation. Rancœur. Ironie du sort. Rejection par la société qui les a crées. Valeurs bafoués. Anges déchus, tombés au plus bas, au-delà des criminels qu’ils ont tant combattus. Il admire leur chute bien plus que leurs exploits.
◮ prénom/pseudo : AMIANTE. ◮ âge : Majeure et vaccinée. ◮ comment avez-vous découvert le forum ? : Je me suis planqué dans les sous-vêtements d’Icare. ◮ qu'en pensez-vous ? : ma foi, ce n’est pas moche. ◮ pv, scénario ou inventé ? : inventé. ◮ un dernier mot ? : oui.
Dernière édition par Bartolomeo Capone le Mer 13 Mai - 23:01, édité 11 fois
Sujet: Re: ON VA BIEN PLUS LOIN AVEC UN MOT GENTIL ET UN FLINGUE, QU'AVEC UN MOT GENTIL TOUT SEUL. Dim 10 Mai - 20:55
despotique
Put a gun to my head and paint the wall with my brains
Rouge sang. Rouge haine. Rouge plein les mains.
Les os craquent, dans la nuit, lugubre. Le crâne nu luit sous la lune. Crèves. Crèves. Meurs. Sale merde. Tantouse. Nègre. Pédale. Pute. Youpin. Bouche à queue. Chintok. Bougnoule. Les insultes se mélangent. Qu’importe. Ils ne sont que la merde sous vos chaussures. Si jeune et pourtant, si sauvage. Alors Bartolomeo frappe, Bartolomeo cogne, parce qu’il n’est capable que de violence. Arrête, qu’ils crient. Quelque part au loin, y’a des bras qui le retiennent, une main sur son épaule. Mais Bartolomeo n’écoute pas. Bartolomeo n’entend pas. Bartolomeo s’en fiche. Bartolomeo tabasse. Rien ne l’arrête. Pas même la mort qui a pris pitié, elle a déjà donné son dernier baiser. Dans sa mare de écarlate, gît la victime graciée. Du moins, ce qu’elle a pu être. Demain, sa propre mère ne la reconnaitra plus alors qu’elle repose sur le lit froid et dur de la morgue. Alors les lèvres de Bartolomeo se fendent, rire sinistre qui fend la nuit.
Il se souvient parfois. Papa qui frappait Maman. Papa qui frappait Bartolomeo. Bartolomeo qui avait peur. Bartolomeo qui tremblait dans son lit. La peur, c’est pour les faibles, disait Papa. T’es un faible, comme ta mère. Et Papa riait, se moquait. Bartolomeo voulait pleurer, voulait crier. Il n’est pas faible, non. Il ne pleurera pas. Papa a raison, forcément. Alors Bartolomeo, il frappe les autres garçons dans la cour de récré. Il les regarde pleurer et il rit, comme Papa. Plus tard, Bartolomeo veut être comme Papa. Papa qui gère la Famille, la pègre italienne de la ville. Alors, il se souvient aussi, quand Papa, le prenait sur ses genoux pour lui raconter toutes ces histoires, quand il lui a appris à tirer avec une arme pour la première fois, à onze ans, premier pistolet. Affaires familiales obligent. L’argent sale qui coule à flots. Bartolomeo s’y baigne, poisson dans l’eau. Les armes, les putes, les drogues, les assassinats sur commande. Et puis la façade pour le monde, une maison d’édition. L’imprimerie qui tourne, les beaux livres qui en ressortent. Mensonge éhonté que personne n’a jamais pu prouver.
Mégot de cigare qui s’écrase sur une planche jaunie d’une bande dessinée dépassée. Le vieil ennemi tombé, les bouteilles de champagne sorties, il est temps de célébrer. Certains pourraient dire que quelque part il n’est pas si différent d’eux, pas tout à fait humain, certainement monstrueux. Une mutation étrange, les gênes maudits. Un contrôle sur le plaisir, dont il aime trop abuser. Scientifique absurde, il distille la haine chez ses victimes, le dégoût profond de leur personne, en faisant grimper la volupté forcée. Alors oui, ils n’ont pas tort les politiques dans leur tour d’argent. Bartolomeo, il est laid, hideux de l’intérieur. Un véritable monstre, une créature d’outre tombe, un cadavre en décomposition. Bartolomeo, c’est une âme putride, calcinée, en morceaux, déchirée par la haine et la colère, pourrie par ses vices. Incapable d’amour, de tendresse, de tout ce que certains qualifieraient d’humains. Bartolomeo, il a perdu tout ce qu’il y a de beau chez l’homme, si on considère qu’il les a déjà possédé. C’est comme une bouteille de gaz qui pourrait exploser à la moindre étincelle. C’est cet équilibre incertain entre la folie et la fureur, où chaque petite brise menace de le faire basculer, d’un côté ou de l’autre du ravin.
Dernière édition par Bartolomeo Capone le Mer 13 Mai - 12:22, édité 5 fois
Sujet: Re: ON VA BIEN PLUS LOIN AVEC UN MOT GENTIL ET UN FLINGUE, QU'AVEC UN MOT GENTIL TOUT SEUL. Dim 10 Mai - 20:58
Icare il ramène des gens, c'est un bon garçon. Bienvenue. Si tu as des questions, le staff est là pour ça. Ton personnage promet, j'ai tellement hâte d'en savoir plus.
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Sujet: Re: ON VA BIEN PLUS LOIN AVEC UN MOT GENTIL ET UN FLINGUE, QU'AVEC UN MOT GENTIL TOUT SEUL. Dim 10 Mai - 21:00
l'est trop cool ton avatar ** Bienvenue et courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: ON VA BIEN PLUS LOIN AVEC UN MOT GENTIL ET UN FLINGUE, QU'AVEC UN MOT GENTIL TOUT SEUL. Dim 10 Mai - 21:03
Je refuse ton don. C'est une arnaque. Je ne suis pas d'accord. MONSTRE. FOURBE. DIABLE.